Ce contenu est issu d’un partenariat commercial avec le People’sLab4Good.
On connaît tous les entrepreneurs, ces figures de l’innovation connues pour leurs inventions fulgurantes – et parfois leurs faillites retentissantes. On connaît moins les intrapreneurs, ces salarié.es dont les projets sont incubés par l’entreprise dans laquelle ils travaillent. Une petite révolution qui pourrait bien ringardiser l’image de Steve Jobs, potassant son iPod dans le garage entre deux cups de nouilles instantanées.
Ubérisation, fintech, prosommateur… Les néologismes issus du monde économique fleurissent à tout-va. Mais celui de l’intrapreneuriat mérite un peu d’attention. Après tout, l’idée, pour une entreprise, d’encourager ses salariés à développer en interne des projets va plutôt dans le bon sens. Ça évite l’incertitude de l’entrepreneuriat et les crises de panique en pleine nuit après un rendez-vous raté avec le banquier. Côté entreprise, c’est aussi une façon de se renouveler, de sortir d’une logique pyramidale et d’intégrer davantage ses salariés. D’ailleurs, l’intrapreneuriat ne date pas d’hier. Il est apparu en 1976 aux États-Unis – comme par hasard – avant de se populariser en France courant des années 2010. Toujours un train de retard, ces Français…
Des super-pouvoirs en incubation
Aujourd’hui, plusieurs grosses entreprises possèdent un volet dédié aux intrapreneurs. People’sLab4Good, de BNP Paribas est un pionnier dans son domaine puisqu’il est le premier à avoir instauré en 2018 un programme d’intrapreneuriat exclusivement dédié à des projets à impact, axés sur les 17 Objectifs de Développement Durable de l’ONU.
Concrètement, le Lab sélectionne les projets qui ont le plus de chance de rencontrer un besoin et une opportunité en interne – une douzaine chaque année – puis accompagne ses porteurs sur le plan personnel comme économique.
Les projets sont aussi divers que le développement de matériaux biosourcés pour réduire l’usage du béton dans les constructions, des services de conception et de codage plus éthiques pour réduire l’impact du numérique, un calculateur d’empreinte carbone lié aux dépenses quotidiennes, ou encore un jeu inspiré par l’univers de La Guerre des Étoiles pour sensibiliser et mieux comprendre le handicap. Nous sommes allés rencontrer les intrapreneurs à l’origine des quatre projets cités, respectivement Timothée Beaudhuin, Françoise Orand, Fabien Benoît et Remi Thélu. Nous vous invitons à découvrir leurs portraits dans un dossier thématique à consulter juste ici.